This is our first Weekly News Digest of August, it is a selected compilation of recent stories we publish each Saturday during Summertime. Today: the testinomy of Abdelhamid Yousif Ismail Adam; Russian soldiers in CAR/Darfur; Jean-Pierre Bemba to run for president December. En français: Violences au Kasaï; Ebola de retour au Congo; ONU et abus sexuels; Privilèges des autorités en Haïti; Le film de la réalisatrice tuniso-américaine Meryam Joobeur…
Survivor of Darfur violence comes to Harvard with a mission in mind – Harvard.edu
In order to survive the slaughter in Darfur, it was the promise of education — the bedrock of democracy and freedom — Abdelhamid Yousif Ismail Adam clung to throughout his turbulent youth. U.N. Security Council estimates show that more than 2.7 million Darfuris have been displaced over the past 18 years. Many Sudanese have fled to neighboring countries — war-torn — to escape the violence and instability of their own. Adam, who said he changed his name to Guy Josif Adam to honor the people who helped him, is currently studying international human rights law at Harvard’s Division of Continuing Education. This is his story.
‘500 Russian troops on CAR-Darfur border’ – Radio Dabanga
Several witnesses and sources from the Um Dafug area of South Darfur which borders on the Central African Republic (CAR) have reported the presence of about 500 Russian soldiers who have been received and hosted by the government in a camp 15 kilometres south of Um Dafug. Witnesses told Radio Dabanga that the Russian forces had 50 vehicles with other military equipment. They said that the forces have constructed a sandy area on the border of South Darfur to receive helicopters. They said government, military, and security officials regularly visit them in the area. According to local sources and witnesses, the exact purpose of the Russian presence on the border with CAR for five months has remained unknown.
Protégez les enfants exposés à des atrocités dans la région du Kasaï, en RDC – Amnesty
Alors que les violences au Kasaï se poursuivent, ce sont les enfants, exposés à de terribles violences, qui continuent de payer le plus lourd tribut. Des milliers d’enfants ont été recrutés de force ou manipulés par des groupes armés tels que Kamuena Nsapu afin qu’ils prennent part au conflit. Une campagne militaire lancée par les autorités contre les partisans de Kamuena Nsapu a fait des milliers de morts et plus d’un million de déplacés, dont certains sont restés au Kasaï et d’autres se sont réfugiés en Angola.
Les enfants sont les principales victimes des crimes odieux et des violations des droits humains perpétrés dans la région du #Kasaï, en #RDC. Agissez pour demander que justice soit faite pour les enfants du Kasaï. #Justice4Kasai https://t.co/mACaoa0qB4 pic.twitter.com/n5sJX8Hkxl
— Amnesty Eastern Africa (@AmnestyEARO) August 1, 2018
Can Convicted Bemba Run for President in DR Congo? – AllAfrica
Two months after being acquitted by the Appeals Chamber of the International Criminal Court , Jean-Pierre Bemba has arrived home where he plans to run for president December. However, it remains to be seen whether the government of President Joseph Kabila will block in his way or if his impending sentencing at the ICC for witness tampering will affect his prospects.
Jean-Pierre Bemba de retour en RDC avec des ambitions présidentielles | par @joantilou https://t.co/tjLN3Wsno7
— Le Monde Afrique (@LeMonde_Afrique) August 1, 2018
Ebola réapparaît dans l’est de la République démocratique du Congo – Le Monde
Ce que les spécialistes d’Ebola craignaient est arrivé. La fin, décrétée le 24 juillet, de la neuvième épidémie ayant touché la République démocratique du Congo (RDC) – officiellement déclarée le 8 mai dans la province de l’Equateur (nord-ouest) – ne signifie pas que le virus a disparu du pays où il a été découvert en 1976. La dixième épidémie est déjà déclenchée.
Two cargo planes arrived in Beni, #DRC, over the weekend carrying critically important WHO supplies to maintain a rapid & effective response to the outbreak, including cold chain equipment, isolation units for #Ebola patients, and vehicles. We thank all partners for their support pic.twitter.com/mAfibKkp2H
— World Health Organization (WHO) (@WHO) August 6, 2018
L’ONU a reçu 70 allégations d’exploitation et d’abus sexuels en trois mois – UN
« Toutes les allégations n’ont pas été entièrement vérifiées », a déclaré lundi le porte-parole adjoint du Secrétaire général des Nations Unies, Farhan Haq, lors d’un point de presse lundi. « Plusieurs sont en phase d’évaluation préliminaire », a-t-il précisé. Entre le 1er avril et 30 juin de cette année, l’ONU a reçu 43 allégations d’exploitation et d’abus sexuels concernant des membres du personnel des Nations Unies, dont 18 provenant d’opérations de maintien de la paix et 25 d’agences, de fonds et de programmes. « Nous avons également reçu 24 allégations impliquant du personnel non-onusien travaillant pour des partenaires de mise en œuvre (de programmes) », a indiqué le porte-parole adjoint. « Trois allégations concernent des forces internationales non-onusiennes autorisées par un mandat du Conseil de sécurité », a-t-il ajouté.
Privilèges accordés aux autorités: Evans Paul se prononce – LoopHaiti
L’ancien ministre Evans Paul se prononce sur les privilèges accordés aux autorités de l’Etat. De l’avis de l’ex-chef de gouvernement, ce ne sont pas les privilèges en soi qui constituent le véritable problème. C’est de préférence la trop grande disparité entre ces avantages, les résultats donnés par les autorités et la miette qui est censée consacrer à la population. Et face aux menaces de destruction du parlement, proférées ces derniers jours, Evans Paul lance un appel à la raison tout en soulignant que cela ne va en rien aider à résoudre le problème.
Le court-métrage “Brotherhood” (“Ikhwen”) de la réalisatrice tuniso-américaine Meryam Joobeur sélectionné au Festival International du Film de Toronto – Huffpost Maghreb
Le court-métrage tuniso-canadien de la réalisatrice tuniso-américaine Meryam Joobeur, “Ikhwen” sera diffusé en avant-première mondiale au Festival International du Film de Toronto. D’une durée de 24 minutes, le court-métrage raconte l’histoire de Mohamed, papa profondément ébranlé et méfiant par le retour de son fils aîné, qui vivait loin, dans son village natal de Tunisie avec une jeune femme mystérieuse. “Chaque moment dans le drame déchirant de Meryam Joobeur est imprégné des complexités émotionnelles d’une réunion de famille, et des conséquences des blessures et des malentendus du passé” indique le synopsis du film.
