La semaine dernière se déroulait la Journée mondiale de la liberté de la presse et à cette occasion le collectif de défense de Sofien Chourabi et Nadhir Ktari annonce l’internationalisation de l’affaire, peut-on lire dans le HuffPost Tunisie.
L’article indique :
Le président du SNJT a parlé de manquement des autorités tunisiennes à leurs obligations envers le dossier des deux journalistes. le président du SNJT a parlé de manquement des autorités tunisiennes à leurs obligations envers le dossier des deux journalistes […] Ben Rejeb, un des membres du collectif de défense dans l’affaire des deux journalistes a expliqué le recours à la justice internationale par “la faiblesse du système judiciaire libyen et l’incapacité du juge du pole judiciaire de lutte contre le terrorisme à faire progresser l’affaire”.
Les deux journalistes ont isparu en Libye en septembre 2014 et l’État islamique avait annoncé leur exécution quelque mois plus tard. L’État tunisien tout comme les responsables libyens n’ont jamais pu apporter les preuves de leur exécution, entretenant ainsi l’espoir de revoir les deux journalistes vivants.